La semaine dernière, le régime jihadiste d’al-Joulani a organisé un nouveau massacre, visant cette fois la minorité druze de la région de Soueïda dans le sud de la Syrie. Saisissant ce prétexte, Israël a bombardé le ministère de la défense syrien et un site proche du palais présidentiel à Damas.

Al-Joulani et Netanyahou sont deux créatures de l’impérialisme occidental. Tous deux, chacun à leur façon, poussent le pays vers un abîme de barbarie.

L'affaiblissement de l’Iran et de ses alliés a modifié l’équilibre des forces au Moyen-Orient. Deux puissances de plus en plus hostiles se font face : Israël et la Turquie, qui sont tous deux des alliés de l’Occident.

Les parrains turcs et qataris des islamistes de Damas veulent que leur régime étende son contrôle sur toute la Syrie. Ils ont recours à la terreur, aux exécutions sommaires et au nettoyage ethnique.

De leur côté, les sionistes veulent se saisir du maximum de territoire syrien pour contenir les ambitions turques et affaiblir durablement la Syrie. Ils sont ravis de voir les égorgeurs d’al-Joulani pousser les minorités ethniques et religieuses de Syrie les dos au mur, car ils espèrent alors pouvoir s’appuyer sur le désespoir des Druzes et des autres minorités pour en faire leurs agents en Syrie.

En d’autres termes, deux camps réactionnaires (tous deux alliés de l’Occident) poussent consciemment la Syrie vers une nouvelle guerre civile – qui pourrait être encore plus dévastatrice que la précédente – et cela, uniquement pour défendre leurs propres intérêts cyniques.

[NDLR : dans ses efforts pour légitimer son régime, la presse occidentale s’acharne à désigner systématiquement le nouveau président syrien par son nom de naissance (Ahmed al-Charaa) plutôt que par celui qu’il utilisait lorsqu’il était le chef d’al-Qaïda en Syrie : Abou Mohammed al-Joulani]

Massacre à Soueïda

Vendredi 11 juillet, des violences ont éclaté, opposant des Bédouins sunnites et des miliciens druzes dans la province de Soueïda. Les affrontements auraient commencé après que des Bédouins armés qui tenaient barrage routier auraient volé les marchandises d’un vendeur de légumes druze, avant de le brutaliser.

Que de telles horreurs aient pu être déclenchées par un vol de légumes est un signe de l’abominable misère qu’a créée l’intervention impérialiste en Syrie. C’est sur ce terreau empoisonné que fleurissent les violences ethniques. Durant la guerre civile, l’économie syrienne s’est effondrée de 85 %, jusqu’à atteindre le niveau de celle des territoires palestiniens avant le 7 octobre.

Le régime d’al-Joulani a saisi le prétexte de ces heurts pour envoyer des troupes – équipées de chars, d’artillerie et de drones - « restaurer l’ordre » dans la province méridionale.

Depuis que les mercenaires djihadistes d’al-Joulani ont pris le pouvoir en décembre dernier, Soueïda est resté hors de leur atteinte. La province était sous le contrôle de plusieurs milices druzes, dirigées par les trois chefs spirituels de cette minorité religieuse. Les affrontements ont donc fourni un prétexte à al-Joulani pour étendre son autorité vers le sud.

Les événements ont suivi un processus similaire aux massacres que le régime avait commis contre les Alaouites dans les régions côtières.

Al-Joulani a lancé des appels à « l’ordre » et au « calme », auxquels les mosquées salafistes ont ajouté des appels au Djihad. Les mercenaires djihadistes étrangers aux ordres du régime sont alors entrées en action et le massacre a commencé.

Les troupes du régime se sont immédiatement impliquées aux côtés des Bédouins dans les combats contre les Druzes. Il y a eu des exécutions sommaires et des massacres de familles entières. Des corps ont été abandonnés dans les champs, dans les rues et dans les maisons ravagées. Le visage des hommes druzes abattus était rasé, en signe d’humiliation. Jusqu’à présent, plus de 1000 personnes ont été tuées, dont une majorité de civils druzes.

Après ce massacre commis par ses troupes, l’ex-chef d’al-Qaida en Syrie – devenu le protégé des Occidentaux – a affirmé aux Druzes que la « protection de vos droits et de votre liberté est une de nos priorités ». Comme il l’avait fait après le massacre de près de 1500 Alaouites en mars, il a promis une « enquête approfondie ».

Soit-dit en passant, aucun résultat d’une quelconque enquête sur les massacres du mois de mars n’a jamais vu le jour et personne n’a été puni. Au contraire. Les miliciens djihadistes qui ont commis ces massacres ont depuis été promus dans l’armée syrienne. Le chef de la division Hamza est aujourd’hui brigadier général, tandis que la milice du Parti Islamique du Turkestan – qui est responsable d’une partie des massacres – a été officiellement intégrée à l’armée régulière au mois de mai.

Il faut reconnaître un chose à al-Joulani : il est devenu maître dans l’art de dire exactement ce que les impérialistes occidentaux hypocrites veulent entendre.

Al-Joulani est un cynique dénué de tout principe. Son objectif est d’ouvrir le pays aux investissements impérialistes, de les autoriser à piller le pays et, en contrepartie, qu’ils rétablissent les infrastructures comme le réseau électrique. Mais, plus que tout autre chose, il lui faut gagner du temps pour établir sa domination sur tout le pays.

Il sait qu’il doit donc prononcer des discours « libéraux » et « modérés » pour rassurer ses bienfaiteurs occidentaux, tout en ayant recours aux méthodes les plus brutales pour affermir sa dictature. Il laisse à ses subordonnés la tâche de traduire ses discours dans la langue des massacres.

Les intérêts des sionistes

Pour ce qui est du cynisme, al-Joulani a trouvé son égal en la personne de Netanyahou. « Nous travaillons à sauver nos frères druzes » a déclaré ce dernier. Le boucher de Gaza voudrait, paraît-il, empêcher un génocide dans le sud de la Syrie !

Netanyahou a commencé à bombarder les troupes du régime islamiste autour de Soueïda, avant de bombarder démonstrativement le ministère de la défense à Damas.

La manœuvre cynique de Netanyahou est évidente. Il s'agit avant tout de sa survie politique. La guerre à Gaza a épuisé toutes les cibles militaires disponibles. L’armée israélienne y est confrontée à un ennemi invisible, qui mène une guerre de guérilla. Netanyahou n’a pas réussi à entraîner les Etats-Unis dans une guerre prolongée contre l’Iran. Il a donc besoin d’une nouvelle guerre pour s’assurer le soutien de ses alliés d’extrême-droite au sein de sa coalition gouvernementale.

Mais, au-delà des intérêts personnels de Netanyahou, la Syrie a une importance stratégique pour l’impérialisme israélien. La chute d’al-Assad a eu le résultat inattendu de renforcer un rival d’Israël : la Turquie. Or, les sionistes veulent que la Syrie reste une nation faible et divisée qu’aucun acteur régional ne pourra transformer en un puissant relais.

En décembre, après que les hommes d’al-Joulani se soient emparés du pouvoir, les Israéliens ont bombardé autant de matériel militaire lourd qu’ils le pouvaient pour éviter qu’il ne tombe entre les mains du nouveau régime.

Et après les massacres d’Alaouites en mars et celui des Druzes aujourd’hui, les Israéliens ont cyniquement endossé le rôle de protecteurs des minorités nationales et religieuses. Mais ils savent que tous les Syriens haïssent l’impérialisme israélien. Le spectacle du bombardement de Damas au nom des Druzes de Syrie – qui eux aussi détestent le régime sioniste – ne peut qu’exposer encore plus les Druzes aux attaques sectaires.

Tout cela correspond aux plans des sionistes, pour qui la guerre civile n’est qu’un moyen d’affaiblir et de diviser durablement la Syrie. Ils sont devenus des experts dans l’art de manipuler les minorités nationales et d’attiser les haines ethniques et travaillent depuis longtemps à faire des Druzes israéliens une minorité « privilégiée ». L’intervention en Syrie visait pour Netanyahou à gagner leur soutien politique en Israël, tout autant qu’à renforcer l’expansionnisme sioniste au-delà de la frontière syrienne.

L’impérialisme israélien veut diviser et détruire la Syrie, pour qu’elle ne puisse plus jamais s’opposer à ses ambitions. Des troupes israéliennes occupent des portions du territoire syrien bien au-delà du plateau du Golan, qu’Israël occupait en partie depuis 1967 et qu’il a occupé totalement l’année dernière.

Les sionistes affirment que le sud de la Syrie doit devenir une « zone démilitarisée », et ont sans doute des arrières-pensées sur la colonisation de la région. En avril, Israël a en effet autorisé l’accès au sud de la Syrie à des « touristes » israéliens (c'est-à-dire à des colons). Ils veulent utiliser les Druzes pour affaiblir le régime d’al-Joulani, contenir l’influence turque et faire avancer leurs projets expansionnistes.

Netanyahou tend un calice empoisonné aux Druzes

Placés le dos au mur par al-Joulani et Netanyahou, les Druzes voient maintenant le régime sioniste leur proposer son amitié. Deux options s’offrent ainsi à eux : faire face seuls aux égorgeurs du régime syrien, ou se soumettre aux Israéliens et devenir un de leurs pions.

Confrontés à l’offensive des mercenaires d’al-Joulani, de nombreux jeunes Druzes ont pris les armes et ont rejoint les milices pour se défendre. Ce sont sans aucun doute des jeunes sincères d’origine modeste.

Sur les réseaux sociaux, leur position est claire : ils sont Syriens, ne veulent pas diviser la nation syrienne, et ne souhaitent que défendre leurs familles et combattre ce régime réactionnaire. Et ils ne veulent pas de l’aide d’Israël. Au contraire, ils veulent chasser le sionisme hors de leur pays.

Mais les Druzes n’ont face à eux que des options réactionnaires. Dans la situation actuelle en Syrie, les événements prennent une logique propre. Les milices n’ont de choix qu’entre subir sans résister le joug d’al-Joulani ou de s’aligner sur Israël, ce qui signifie la destruction de la Syrie et ferait des Druzes de Damas – qui sont à portée de main des égorgeurs djihadistes – des otages et la cible de la vengeance du régime d’al-Joulani.

Les trois chefs spirituels druzes – qui exercent une influence à Soueïda et sur une partie des milices – ont oscillé entre ces deux options, toutes deux désastreuses. Ils ont d’abord accepté l’entrée des troupes d’al-Joulani dans la ville, avant que l’un d’entre eux, al-Hajri, ne lance un appel à Trump, Netanyahou, au prince héritier saoudien Ben Salmane et au roi de Jordanie Abdallah II, pour qu’ils interviennent et « sauvent Soueïda ».

Les chefs des milices n’ont aucune perspective. La Syrie restera un terrain de jeu pour les impérialistes et sera plongée dans une horreur sans fin, tant que le capitalisme ne sera pas expulsé du pays et de toute la région. Aucun futur n’est possible pour la Syrie et son peuple sous le capitalisme. C’est leur existence même qui est menacée par ce système.

Interventions impérialistes

Les impérialistes sont en train de rediviser le Moyen-Orient. Avec l’affaiblissement de l’Iran et de ses alliés, la Turquie apparaît maintenant comme le principal adversaire d’Israël.

L'effondrement du régime d’al-Assad était une conséquence inattendue de la guerre d’Israël contre Gaza, en même temps qu’une aubaine pour la Turquie. Les principaux protecteurs du régime de Bachar al-Assad étaient l’Iran et ses alliés, qui étaient distraits par les attaques d’Israël contre le Liban et l’Iran, et les Russes, qui se concentraient sur l’Ukraine.

Aujourd’hui, c’est la Turquie et le Qatar qui tirent les ficelles à Damas. Les Israéliens sont de plus en plus mal à l’aise alors que des rumeurs courent sur la possible évacuation par les Russes de leur base de Tartous sur la côte syrienne, et sur la possible prise de contrôle par la Turquie de la base aérienne T4, ce qui placerait Israël à portée des forces aériennes turques.

Récemment, le rapport de la commission Nagel sur la réorganisation de l’armée israélienne a affirmé clairement qu’en ce qui concernait la Syrie et la Turquie, « Israël devait se préparer à la guerre ».

La presse israélienne parle de plus en plus bruyamment de la menace turque, et notamment des possibles ambitions nucléaires d’Erdogan. La Turquie doit activer cette année son premier réacteur nucléaire à Akkuyu, ce qui va lui ouvrir la possibilité d’enrichir son propre uranium.

En intervenant en Syrie, les Israéliens envoient un signal clair à al-Joulani : ils n’autoriseront pas Damas (et par conséquent la Turquie) à étendre son influence jusqu’à la frontière israélienne.

Al-Joulani sait qu’il doit manœuvrer habilement. C’est pour ça qu’il courtise tout le monde, et notamment les Européens et les Américains. Il y a encore peu de temps, il faisait même des ouvertures vers Israël sous la pression de Trump, en suggérant qu’il pourrait normaliser les relations diplomatiques avec Tel-Aviv.

Al-Joulani a besoin de temps pour construire une véritable armée et consolider son régime. Il n’est pas enthousiaste à l’idée d’une guerre avec Israël, dans laquelle il serait en position de faiblesse.

Al-Joulani a bien compris le message des Israéliens : ilsont éliminé les chefs du Hezbollah et tué plusieurs généraux iraniens. Al-Joulani et ses proches seront les prochains s’il ne font pas très attention à ce qu’ils font, comme l’a explicitement dit le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir.

Al-Joulani essaie donc de reculer. Mais il lui est plus facile de lâcher ses chiens de guerre que de les rappeler une fois qu’ils sont entrés en action. Il ne contrôle pas totalement les djihadistes qui composent les rangs de son armée. Nombre d’entre eux considèrent que les Druzes sont des apostats qui doivent être exterminés.

Il y a eu pour l’instant trois cessez-le-feu. Les troupes du régime n’ont pas respecté le premier et ont au contraire commencé à massacrer en plein cœur de Soueïda. Al-Joulani a accepté de retirer ses troupes le 16 juillet, après les premiers bombardements israéliens, mais les meurtres ont continué. Il est évident que de nombreux soldats ont continué à participer aux massacres aux côtés des Bédouins, et que d’autres les laissent avancer vers Soueïda et leur fournissent armes et munitions.

Ces massacres montrent la véritable nature du régime syrien, derrière le vernis de respectabilité que les politiciens occidentaux ont tenté de donner à al-Joulani.

La responsabilité de l’impérialisme occidental

Un affrontement entre les deux alliés les plus fiables de l’Occident au Moyen-Orient, la Turquie et Israël, semble de plus en plus probable. Les deux camps essaient de gagner le soutien des Occidentaux.

Les impérialistes européens, avec leur stupidité habituelle, ont été les premiers à soutenir al-Joulani et aussi les plus enthousiastes. Ils ont noué un accord avec Erdogan pour qu’il contrôle les flux de migrants vers l’Europe, et en particulier ceux qui viennent de Syrie. Aujourd’hui, ils espèrent comme Erdogan qu’un renforcement du régime d’al-Joulani menant à une quelconque forme de stabilisation économique (en ouvrant le pays au pillage impérialiste) pourrait voir revenir les réfugiés syriens. C’est à se demander si ces gens ont un cerveau : le nettoyage ethnique qui se profile en Syrie ne peut au contraire que pousser davantage de Syriens à fuir vers l’Europe.

La position de Donald Trump a été plus erratique. Et cela a sans doute contribué à l’intervention de Netanyahou.

Durant les massacres du mois de mars, qui se sont produit alors même que le cessez-le-feu à Gaza était rompu, Trump a défendu la même ligne que Netanyahou et a vigoureusement critiqué le régime islamiste de Damas.

Mais depuis, le président américain a mis en œuvre une autre stratégie. En mai, il a rencontré al-Joulani, l’a publiquement complimenté et a levé les sanctions contre la Syrie. C’est durant cette série de rencontres au Moyen-Orient – dont Netanyahou a été exclu – que Trump a signé toutes sortes d’accords avec les Etats du Golfe, et notamment le Qatar. C’est aussi après ces rencontres qu’al-Joulani a avancé l’idée de normaliser les relations entre la Syrie et Israël et de se joindre aux Accords d’Abraham. La Turquie et le Qatar sont aussi devenus des acteurs clés des négociations autour de Gaza.

La stratégie de Trump est limpide. Il veut que ces deux alliés des Etats-Unis au Moyen-Orient – Israël et la Turquie – se rapprochent, pour que l’impérialisme américain puisse ensuite se désengager de la région. Cette approche est logique, mais désespérément utopique.

Les dernières actions de Netanyahou ont été l’équivalent d’un violent coup de pied dans les plans de Trump pour le Moyen-Orient. Or, le président américain n’est pas connu pour sa patience à l’égard de ceux qui lui créent des problèmes et le trahissent.

Un officiel américain l’a dit clairement : « Le bombardement de la Syrie a pris le Président et la Maison Blanche par surprise. Le Président n’aime pas allumer la télévision et voir des bombes être lâchées sur un pays où il cherche à établir la paix et qu’il s’est publiquement engagé à aider à reconstruire. »

Un autre a été encore plus direct : « Bibi se comporte comme un fou. Il bombarde tout, tout le temps. »

Ayant été élu sur la promesse qu’il mettrait fin aux « guerres éternelles », Trump voudrait que l’impérialisme américain puisse se retirer de la région, mais il est pris au piège dans la toile d’araignée des contradictions créées par l’intervention des impérialistes eux-mêmes.

Ce sont les impérialistes occidentaux, les Américains et les Européens, qui ont causé le chaos auquel on assiste aujourd'hui en Syrie. Leur intervention dans la première guerre civile en Syrie a déchiré la société syrienne. Ils ont créé, financé et armé une multitude de factions islamistes qui dominent aujourd'hui le pays. C’est aussi qui ont créé, protégé et armé le monstrueux régime sioniste.

Ils continuent aujourd’hui à soutenir la Turquie et Israël, qui – chacun de leur côté – travaillent à provoquer une nouvelle guerre civile en Syrie, plus meurtrière que la première. D’autres puissances régionales (l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Emirats Arabes Unis) attendent l’occasion de participer eux aussi à la curée. Le carnage semble inévitable. L'impérialisme occidental a tout fait pour détruire la nation syrienne, au nom de ses intérêts égoïstes.

Sur la base du capitalisme, le peuple syrien sera toujours la victime des interventions impérialistes et des guerres. Il n’y a pas d’issue possible dans ce système, aucune possibilité d’arriver à une nation unie, forte et démocratique. Ce n’est que lorsque les travailleurs et les opprimés se doteront d’une direction capable de les unir dans la lutte contre le capitalisme et l'impérialisme que la Syrie pourra renaître au sein d’une Fédération socialiste du Moyen-Orient.

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